L’Hôtel De La Plage (17) - Marco

Marco

C'était il y a quatre ans, la première année où je travaillais à l'hôtel de la plage l'été. J'étais parti faire les courses au marché pour le restaurant avec Jonathan, un jeune commis de cuisine en stage chez nous entre ses deux années de CAP. Je faisais le tour des commerçants chez qui je me fournis habituellement, attentif à la qualité de la marchandise et heureux de bavarder avec des artisans tous amoureux de leur métier et des beaux produits. A un moment j'ai eu l'impression d'avoir un regard posé sur moi. Je lève la tête et derrière un étal de fruits et légumes je le vois pour la première fois, à une dizaine de mètres de moi. Grand, belle gueule virile, cheveux courts blond foncé, lunettes de soleil, jean et chemise blanche ajustée, ouverte sur des pectoraux poilus dessinés par le tissu tendu.

Je trouve l'image séduisante mais je n'y prête pas plus attention que cela. Je continue mes courses avec Jonathan et je sens toujours cette étrange présence. Je le cherche du regard et à plusieurs reprises je le trouve dans mon champ de vision, toujours immobile, figé dans ma direction sans que je puisse lire dans son regard caché par les verres teintés.

A la quatrième ou cinquième fois, je ne sais plus, il se caresse rapidement la queue à travers son jean et je comprends que le denim cache une queue plus que généreuse. Là je commence à bander mais je ne sais pas trop quoi faire. Je décide néanmoins de me débarrasser de Jonathan en lui donnant les clés de l'utilitaire et lui demandant de rapporter nos achats à l'hôtel. Je continue à me promener dans les allées mais je ne fais plus que penser à ce beau mec qui visiblement s'intéresse à moi. Je m'arrête devant le stand d'un producteur de cidre local que je connais bien. Sans que je le devine il vient se coller dans mon dos profitant de l'étroitesse de l'allée et de la foule qui déambule sur le marché chaque matin de la belle saison.
Je sens sa queue dure contre mon cul à travers son jean et le mien.

Il donne un coup de rein qui me plaque contre le présentoir du producteur de cidre et je n'ai plus de doute sur le volume du pénis du beau mec. Il y a beaucoup de bruit, d'allées et venues et il se penche à mon oreille :
- tu la sens ?
Je ne peux pas lui répondre mais il se colle encore plus contre moi et ce simple contact m'excite au plus haut point. Il m'écrase le queue contre le bord de l'étal.
- t'as la même non ?
Je paye rapidement deux bouteilles choisies au hasard pour me donner une contenance et me retourne. Je me cogne contre lui qui n'a pas bougé.
- Bonjour...moi c'est David... Viens
Il a enlevé ses lunettes de soleil et je découvre des yeux verts clairs comme les lagons d'Océanie, d'une beauté troublante et par ailleurs animés de la plus évidente lubricité. Il zigzague entre les voitures des commerçants garées sur les arrières de la place du marché jusqu'à une minuscule ruelle que je n'avais vue même en étant passé devant plusieurs fois. Il se retourne pour voir si je le suis, je n'ai pas peur, séduit par la limpidité et l'excitation visible dans son regard.
Au bout de trois mètres il y a un renfoncement, quelques fenêtres hautes qui donnent sur l'endroit mais ça n'a pas l'air de le gêner. Je le suis, m'arrête devant lui et plonge mes yeux dans les siens. Il sourit et se met à genoux devant moi. Il commence à lécher mon sexe dur à travers le tissu bleu délavé. Il m'excite, je ne porte pas de caleçon ce jour là, le jean est déjà assez usé et fin à cet endroit et je sens les effets de sa langue comme si j'étais déjà à poil. Il se relève.
- montre moi ta queue
Je ne me fais pas prier et déboutonne mon jean. Il plonge dans l'ouverture pour s'emparer de mon sexe qu'il dégage du tissu serré. Il me regarde avec un sourire de triomphe.
- je le savais...
Je crois avoir compris ce qu'il voulait dire.
- t'as la plus belle queue de la région...je l'ai vu tout de suite ce matin sur le marché... ton jean tendu.
..ça m'a rendu dingue
Je ne sais pas quoi lui dire mais j'aime le contact de sa main sur ma tige...il dégage doucement mon gland de l'enveloppe de mon prépuce...
- mmmm j'adore...
Il se met à nouveau à genoux et me suce le gland, juste le gland, en jouant à faire aller et venir la peau du prépuce qui commence à être sérieusement mouillé par ce petit jeu. Le contact de sa bouche de velours sur moi me fait sursauter de plaisir. Je suis partagé entre l'envie de me laisser aller et la peur d'être vu par un passant ou quelqu'un caché derrière l'une des fenêtres qui donnent sur la ruelle. Fellation magique...je ne sais pas comment il fait mais à ce rythme là je vais l'arroser rapidement. Il sent que je réagis très fortement à ses caresses et se relève. Il déboutonne son 501, le fait glisser sur ses cuisses velues, descend un caleçon aussiebum pour libérer une verge à peu près de la taille de la mienne, épaisse aussi, protégée par un épais prépuce aux veines apparentes. Une véritable oeuvre d'art. Il découvre son gland qui brille.
- tu vois...tu me fais mouiller...
Il m'excite, sa façon d'être un peu étrange et son aisance dans ces circonstances particulières. Il prend nos deux queues dressés l'une sur l'autre dans ses deux mains et nous serre. Mon gland bute contre son pubis taillé et je vois une trace humide rester sur ses poils courts. Je me dis que je vais jouir, ici, en pleine rue...il est complètement cinglé...
- tu t'appelles comment ?
- Marco
- Marco, j'ai une proposition à te faire.
- AH ?
- je t'explique. Je cherche à créer un groupe de mecs, gays, des beaux mecs si possible avec des queues comme la tienne, même si toi tu bats des records. On se retrouverait le jeudi chez moi...pour s'amuser entre hommes. Tu vois ? Il me faut des plutôt actifs et des plutôt passifs pour que ça matche bien. J'ai déjà convaincu quatre gars. Si tu veux bien être le cinquième, c'est génial. On se retrouve jeudi prochain, à la Villa dorée à 21H00.

Je ne sais pas quoi dire. Le plan m'excite mais on ne sait jamais à quoi s'attendre dans ce cas. Je viens d'arriver dans la région pour ma première saison et je ne sais pas trop comment me renseigner pour me rassurer.
- on va faire deux choses. Je te fais jouir et je te donne ma carte. Comme ça si tu veux qu'on recommence, tu sais où me trouver jeudi.
-....OK`
Il se remet à genoux devant moi et reprend la fellation, le biberonnage de mon gland en faisant tourner sa langue et j'ai l'impression tout son corps autour de mon axe viril. Je me peux pas m'empêcher de gémir...
- OH....P......c'est trop bon
Il s'interrompt.
- Tu aimes ?
- c'est du délire
Il reprend et je renonce à me contrôler. je ne me rappelle pas avoir ressenti des trucs pareils sur mon gland depuis un moment.
- je viens
Il ferme sa bouche sur ma queue, l'enserre avec les muscles de ses lèvres pour former un anneau à la fois doux et dur sur moi, et je sens le flot de mon jus passer cette frontière et aller se répandre sur sa langue et dans sa bouche. Il lève les yeux vers moi, sublimes, troublants. Il tremble et je comprends que lui aussi éjacule sur le sol en granit en même temps que moi. Je sais que j'irai à sa soirée jeudi. Il avale la dernière goutte de mon jus... Je reste figé, dans un état second, pendant que je perds ma raideur dans sa bouche.
Je range ma queue repue dans mon jean, un peu décontenancé mais terriblement attiré. Il fait pareil en me regardant dans les yeux.
- ca va Marco ?
- Oui...
- t'as aimé ma bouche ?
- oui
- on va devenir très copains non? j'adore ton corps, ta queue, ton jus et tes yeux.
- euh....Merci
Je vois un mouvement derrière une fenêtre.
- Attention...il y a quelqu'un qui regarde
- Oui je sais
- Tu....?
- c'est un de nos amis du jeudi qui habite là...c'est lui qui m'a fait découvrir la ruelle...et ça l'amuse de participer au recrutement de nos nouveaux membres.
..
- mais...
- t'inquiète...il est adorable....et quand tu vas le voir et lui va découvrit ta queue vous allez très vite vous entendre. Il s'appelle Paul.
- je sais pas....
- Si ! moi je sais que jeudi tu seras là
- euh....peut-être...
- moi je suis sur. A jeudi. Au fait regarde la fenêtre avant de partir.
Je lève les yeux et fais un effort pour essayer de voir quelque chose malgré la luminosité. Et je comprends. Sur une des vitres des trainées blanches coulent lentement... Je recommence à bander.
David pose la main sur me nuque et approche ses lèvres de ma bouche, se colle à moi et m'embrasse furieusement comme si j'étais son premier mec. Mon deux queues vidées mais à nouveau dures s'écrasent l'une contre l'autre.

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